C’est bon… Les cartons sont fermés et nous allons bientôt quitter notre résidence, que dis-je, notre luxueuse demeure parisienne (32 m2 tout de même).
D’un optimisme certain, mon copain et moi avons décidé de quitter la France (comme tant d’autres avant nous) pour rejoindre les contrées lointaines du Canada (« Oooooh Froid est ton pays mais chaud est le cœur de tes habitants ») Bref. Canada Goose nous voilà 🙂
Alors, avant d’enfiler nos tenues d’Inuits il va falloir faire les cartons, préparer les valises, vérifier les papiers…. De bon moments d’angoisses en perspective… MAIS… ça en vaut le coup… Sûrement… enfin ça…on sait pas parce qu’on y est pas encore. Mais sûrement !
Pour commencer notre longue préparation il faut déménager ! (c’est obligatoire, sinon on reste à Paris et ça on veut pas) Malgré la petitesse de notre appartement on a réussi à entasser beaucoup de choses (c’est flippant d’ailleurs) Mais on ne regrette pas notre décision. Qu’à cela ne tienne , fuyons cette vie de consommation et d’épanouissement dans les biens matériels 😀 On veut la vie, la vraie…. on partira avec seulement 2 valises et un sac-à-dos chacun. Rien d’autre. Le reste on vend, on donne (pas trop souvent non plus :D) et on jette. On appelle les parents qui ne sont plus à un déménagement près et Zou… on vide les placards, les tiroirs et les armoires.
Je vous passe les détails de toute la paperasserie pour réussir à quitter le pays. L’assurance, les impôts, la sécu, la recherche d’une banque là-bas, essayer de quitter la sienne ici (ou renégocier son contrat, on va tout de même pas payer 8 euros pour un compte qu’on utilise plus !), la recherche d’un logement décent à Montréal (ce qui est bien plus simple à trouver qu’à Paris…) et plein d’autres réjouissances de ce genre dont nous sommes sortis vivant !
Bref… ces derniers mois on était bien occupés mais on ne regrette pas (on a pas le temps) Maintenant, on est presque « Ready » pour s’envoler vers le continent Nord Américain…. Mais la suite on vous la racontera dans une prochaine note
D’ici là portez-vous bien,
Le gros bécot !
