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Nous y sommes !
Nous avons (enfin) posé le pied (voir même les 2) sur le sol canadien. C’est un ciel orageux qui nous a souhaité la bienvenue à la descente de l’avion mais on prend ça comme une preuve de sympathie du climat local. Il ne pleut pas et il ne neige pas c’est déjà ça 😉 Bon la neige en juin c’est excessif, je vous l’accorde (même si le temps est un poil capricieux depuis notre arrivée, côté température : « c’est correc' »)

Le voyage en avion au dessus de l’atlantique fut très paisible. On a commencé à se familiariser avec les expressions québecoises et la bonne humeur contagieuse de notre pilote. On nous a donné des bleuets enrobés de chocolat (au final on en trouve partout à Montréal), c’est franchement pas mauvais. (David est moins fan… c’est étonnant !)

On s’envole, on s’envole…

Nos premiers jours furent surtout dédiés à la marche à pied. On est parti à la découverte de la ville avec nos plus belles paires de basket. On a d’abord découvert le vieux port de Montréal et malgré le temps incertain, les pédalos étaient de sortie. On a trouvé leur « Paris plage » local et constaté qu’il fallait mieux ne pas se baigner dans le Saint Laurent au vu du courant impressionnant qui l’anime.

Le vieux port (« Paris plage » à la mode nord américaine, Oh Yeah !)

Le Saint Laurent

Nous nous sommes dirigés vers le vieux Montréal qui a des faux airs de Bruxelles avec ses façades de bâtisses en pierre grise. La vieille ville s’arrête vite pour laisser place à d’immenses buildings modernes à l’image des villes nord Américaine. Comme nous n’étions pas encore réellement remis du décalage horaire (La veille : couché 21h – réveil 4H30…) nous n’avons pas fait honneur à notre fougue pédestre habituelle. On avait oublié que le « jet lag » des premiers jours n’était pas si « easy » à gérer finalement…

Le vieux Montréal

Mais nous avons quand même tenté (courageusement) de gravir le Mont Royal dès notre première semaine. Haut sommet culminant à… 233 m ! Bon ok c’est rien du tout en fait 🙂 Le Routard prévoit une arrivée au sommet en 1h… Franchement on a dû le faire en 35 minutes… Le Routard devait parler aux souffreteux, aux malades, aux personnes en béquilles ou en déambulateur parce que ça semble être une estimation très large. Bon bah après ça on a décidé de plus trop lire leur guide 😉

Au sommet on a une vue imprenable sur Montréal et ses environs. Au Nord, une vue légèrement tristoune sur des quartiers résidentiels (paysage assez peu, voir pas du tout, vallonné) mais au Sud on a une magnifique vue sur les building et le Saint Laurent. En arrière plan on peut voir se dessiner de jolie montagnes que l’on compte bien gravir (elles ne se font pas en 35 minutes celles-là) 😀

J’aime les panoramas !

En redescendant, nous sommes passés pas le quartier du Plateau. Haut lieu de rassemblements communautaristes français parait-il… On en a pas croisé mais on tendra mieux l’oreille la prochaine fois. Ce quartier est vraiment magnifique avec des maisons typique de l’idée que l’on se fait des habitations montréalais. Les tags viennent décorer les ruelles qui se cachent derrière les maisons et qui sont une caractéristique de Montréal également. En été ces ruelles se gorgent de verdure et offrent aux habitants une ambiance très champêtre (quel décalage cela doit faire par rapport à l’hiver… mais on n’y est pas encore)

Rues du quartier le Plateau – Mont Royal

Petites ruelles

Escaliers et balcons typiques du quartier

On vous laisse ici pour ce qui est de nos premiers jours. On se retrouve bientôt pour vous raconter notre visite de la capitale : Ottawa…

Le gros bécot !

Petite parenthèse fromagère : Sachez qu’ici aussi il y a du fromage (évidemment) et même du camembert. On a été assez surpris de retrouver nos bonnes vieilles marques françaises (bon… à un prix prohibitif… of course… $6,39 la portion de Chavroux… Ça fait 4,34 €… Faut pas déconner non plus…) et plein d’autres sortes de fromage que l’on ne connait pas. Dans l’ensemble ces fromages là restent chers et le cheese whiz est, de loin, le plus abordable 😉

Le Fromage français a bel et bien traversé l’atlantique, (le coquinou) Les prix abordables français sont, quant à eux, restés à la maison !

Seconde petite parenthèse : Merci aux adorables personnes qui nous ont accompagnés jusqu’à Roissy simplement pour nous dire au revoir.

Copaiiiiiiins !

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